« S’il n’avait pas l’immigration, nos parents n’auraient plus personne pour s’occuper d’eux » : la juive Agnès Jaoui dénonce les Blancs qui manifestent à Romans-sur-Isère

La Rédaction
Démocratie Participative
30 novembre 2024

 

Les juifs sont des immigrés comme les autres.

C’est ce que nous rappelle Agnès Jaoui, juive de Tunisie, dans son prêche sur RTL en faveur de l’implantation en France de millions de migrants du tiers-monde.

Dépendez-vous d’une Africaine en boubou pour éteindre vos interrupteurs le vendredi soir ?

Moi, non.

Sa colère fait suite à une manifestation de Français de sang, de véritables Français donc, prévue à Romans-sur-Isère, près de Crépol, où des maghrébins ont assassiné Thomas Perotto.

Depuis Paris, Agnès Jaoui était du côté des quelques centaines de militants d’ultra-gauche assemblés pour défendre les nombreux afro-musulmans du secteur, délinquants et parasites endurcis, hermétiquement hostiles aux Blancs.

Quoique concernés au premier chef, ils étaient tous aux abonnés absents.

Jaoui n’aime pas tous les Arabes pour autant.

Tout dépend du contexte.

Certains diraient du rapport de force.

Son film récent, Le dernier des juifs (2024), est moins enthousiaste sur l’immigration qu’Agnès ne veut bien le dire sur RTL.

C’est l’histoire des derniers juifs de la banlieue parisienne qui se replient progressivement vers leur place forte, le 17e arrondissement, évincés par l’énorme pression musulmane avoisinante.

C’est geignard à souhait, tribalement narcissique comme seuls les juifs peuvent l’être.

Le juif s’admire pleurnicher dans le miroir, ce qu’il croit être du cinéma.

Le film est signé par Noé Debré, voleur d’aides du CNC expérimenté.

Certes, le film a un message.

Qu’est-ce qu’Agnès Jaoui essaie de nous dire ?

Les juifs.

Ce qui fait de cette race un peuple d’ordures, c’est la surenchère dans l’exhibitionnisme émotif qu’elle exprime à propos de son propre sort, associée à une indifférence glaciale envers le devenir de ceux qu’elle écrase comme des insectes.

Pour cette raison, le juif est l’incarnation du mépris.

Plus il gémit de ses déboires dérisoires, plus il devient odieux à ceux qui souffrent de ses menées. Ainsi naissent les pogroms, à toutes les époques et pour toujours, aussi longtemps que le juif foulera cette terre de ses jambes torves.

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