Romans-sur-Isère : les fins de race de la gauche radicale manifestent pour le droit des bougnes à tuer des Blancs

La Rédaction
Démocratie Participative
01 décembre 2024

 

« Des jeunes » du Jeunistan se sont « joints au cortège » au chant de « La Monnaie ! La Monnaie ! La Monnaie ! », comme un cri venu du terroir.

On perçoit ce délicieux accent régional pratiqué partout, de Brest à Strasbourg en passant par Lille et Perpignan.

La Monnaie, 150 millions d’euros investis par le Gaulois éternel depuis 2014 dans ce quartier.

L’épitome de l’oppression raciale.

Nique la France, on vous baise ! (quartier de la Monnaie)

Et bien sûr protégé de près par la police républicaine quand des autochtones s’énervent.

Parmi les principes idiots de la démocratie, il y a celui de devoir coexister avec des gens qui veulent votre mort, celle de vos enfants, et réduire à néant tout ce qui est sacré pour une nation ou un peuple.

Ici, je ne parle pas des allogènes.

Une hyène est une hyène, s’en plaindre est aussi utile que de protester contre le lever du soleil.

Je parle de la véritable menace : les félons de race blanche.

Encore que cet oiseau-là, Brunon de LFI, a l’air d’avoir une ascendance méditerranéenne louche.

Selon ce système absurde, nous devrions accepter de vivre avec des traîtres fanatisés comme ces gens de gauche au cul aussi blanc que de la porcelaine de Limoges. C’était encore vaguement audible lorsque la gauche reposait des questions d’économie et de sous, mais à présent que nous avons basculé dans la lutte des races ouvertes, aucune « élection » ne peut expliquer, encore moins rendre possible, une coexistence avec cette vermine qui festoie sur les cadavres de nos gosses.

Ces gens sont animés d’une pulsion de mort qui les pousse à contempler avec frénésie un projet de suicide collectif.

J’aimerais que les gens de nos cercles intègrent bien la nécessité d’une purge radicale et totale des traîtres.

La remigration, ça s’organise, ça s’organise même facilement une fois qu’on a les idées claires. Le seul et unique obstacle sur le chemin de la guérison n’est pas l’immigré, ou marginalement, mais bien la crapule de gauche, saboteur consubstantiel qui tous les jours se lèvent pour rendre son frère de race plus malheureux que la veille.

Il faut brûler la gauche, ce cul de basse fosse peuplé de permanents associatifs, d’éducateurs, de profs, de scribouillards de presse, d’intermittents du spectacle, de vidéastes de merde, bref de tous les ratés simili fonctionnarisés qui végètent des subsides de l’État dans les grandes villes et qui votent Mélenchon, Faure, Tondelier, « fait barrage à la haine », avec ses mauvaises dents et son haleine de fiel.

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