La Rédaction
Démocratie Participative
10 décembre 2024
Orban peut dire adieu au pouvoir.
L’offensive est lancée, les sondages « défavorables » sont diffusés et la faction pro-OTAN est désormais proclamée majoritaire.
Hungary, Závecz poll:
TISZA-EPP: 39% (+4)
Fidesz/KDNP-PfE: 35% (-4)
MH-ESN: 7% (+2)
DK-S&D: 6% (-1)
MKKP→G/EFA: 4%
Momentum-RE: 3%
MSZP-S&D: 2%
2RK-: 1%
P-G/EFA: 1% (n.a.)
MMN→EPP: 1% (n.a.)+/- vs. 28 September – 8 October 2024
Fieldwork: 20-30 November 2024
Sample size:… pic.twitter.com/C0Kb8iDPh6— Europe Elects (@EuropeElects) December 9, 2024
Lécher les bottes de Netanyahu et de Trump ne suffira pas.
USA today. The future has begun! 🇭🇺🇺🇸
An afternoon in Mar-a-Lago with @realDonaldTrump, @elonmusk and @michaelgwaltz. pic.twitter.com/xYs5q8fqGq— Orbán Viktor (@PM_ViktorOrban) December 9, 2024
Il va se faire renverser selon le modèle polonais : des élections « miraculeuses » suivies d’une purge radicale de l’État et des médias.
Ensuite, il sera visé par des procès à répétition pour corruption. Ce ne sera pas difficile car Orban est un corrompu notoire qui a du mal à distinguer son porte-feuille des caisses de l’État.
Nous sommes en phase d’accélération et l’OTAN ne va pas tolérer que des acteurs de second rang jouent sur tous les tableaux. La Roumanie le prouve, l’époque des élections relativement libres est terminée.
À présent nous aurons la démocratie procédurière avec une décision prise par des juges au nom de « l’état de droit ».
À Bruxelles, Orban est plus ou moins considéré comme le Bachar al Assad d’Europe. Les centristes pro-système du continent lui souhaitent à peu près le même sort, à la différence que Bachar al Assad a su quand se replier et où.
Orban n’ira nulle part et finira dans un tribunal dont les juges auront été désignés par le fils Soros.
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