Macron chez les Polaks pour préparer l’intervention française en Ukraine

La Rédaction
Démocratie Participative
12 décembre 2024

Le pacifisme de Vladimir Poutine menace le monde d’un désastre global

La conquête de la Syrie après le coup d’état coordonné entre les officiers syriens, Erdogan et l’OTAN est un désastre stratégique pour la Russie.

L’OTAN voit cet effondrement surprise comme un miracle inespéré. Son idée est de réitérer en gelant temporairement le conflit en Ukraine. Les démocraties veulent y préparer un Idlib géant, prélude à un assaut général contre la Russie.

France 24 :

Alors que la sortie de crise politique se fait toujours attendre en France, le président français Emmanuel Macron se rend jeudi 12 décembre à Varsovie pour discuter d’un renforcement du soutien à l’Ukraine dans la perspective de négociations de paix.

Il est attendu à 12 h (11 h GMT) chez le Premier ministre Donald Tusk pour un entretien bilatéral suivi d’un déjeuner de travail, avant une rencontre avec le président Andrzej Duda.

Emmanuel Macron entend capitaliser sur sa rencontre samedi à l’Élysée avec le président américain élu Donald Trump et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky pour imposer la France et les Européens dans de futures négociations.

Le chef de l’État va faire part des « résultats de ses discussions » avec Donald Trump et Volodymyr Zelensky, a indiqué le Premier ministre polonais, qui a qualifié cette rencontre de « brève mais importante ».

Il va faire le point sur le « soutien européen » à l’Ukraine dans un « nouveau contexte transatlantique », renchérit l’Élysée.

La « position constante » de la France est qu’il « faut continuer à soutenir aussi intensément et longtemps l’Ukraine que nécessaire pour qu’elle aborde le moment venu des négociations en position de force », relève-t-on à Paris.

La situation en Ukraine sera au cœur du sommet européen du 19 décembre à Bruxelles. La Pologne, qui assumera la présidence tournante du Conseil de l’UE au premier semestre 2025, est en première ligne dans le soutien à ce pays depuis le début de l’offensive russe à grande échelle en février 2022.

Donald Trump, qui entrera le 20 janvier à la Maison Blanche, a appelé à un « cessez-le-feu immédiat » et à des négociations pour mettre fin au conflit en Ukraine après sa rencontre samedi avec Volodymyr Zelensky.

Le président ukrainien laisse entendre de son côté qu’il est disposé à attendre avant de récupérer les zones occupées par l’armée russe (près d’un cinquième du pays). Mais il réclame des garanties de sécurité « effectives » de ses alliés afin de prévenir toute nouvelle offensive russe contre son pays.

À défaut de perspective rapide d’adhésion de l’Ukraine à l’Otan, à laquelle Washington et Berlin s’opposent, les Occidentaux pourraient envoyer des soldats en Ukraine, une idée déjà esquissée par le président français en février.

« Franchement, nous pouvons réfléchir et travailler sur la position d’Emmanuel », a lancé Volodymyr Zelensky au côté du chef de l’opposition allemande et potentiel futur chancelier Friedrich Merz lundi à Kiev. « Il a suggéré que des troupes d’un pays soient présentes sur le territoire de l’Ukraine, ce qui nous garantirait une sécurité tant que l’Ukraine n’est pas dans l’Otan. »

Goyim…

La situation est actuellement très difficile pour l’Ukraine, dont l’armée recule sur le front est devant des forces russes plus nombreuses et mieux armées.

Selon plusieurs médias européens, Emmanuel Macron et Donald Tusk pourraient discuter de l’envoi d’une mission européenne de maintien de la paix.

Une information non confirmée par l’Élysée. « Ils vont parler des garanties de sécurité et de ‘l’après’, oui, à savoir à quoi peut ressembler demain, aux conditions que les Ukrainiens auront posées », relève une source diplomatique sans plus de précisions.

Selon Elie Tenenbaum, expert en défense à l’Institut français des relations internationales (Ifri), « la France et la Grande-Bretagne d’un côté, et puis les Polonais, les Baltes, les pays scandinaves, qui sont quand même très engagés, et peut-être d’autres alliés comme le Benelux » pourraient participer à un tel dispositif « a minima aéroterrestre ». Soit un volume potentiel de « 40 000 hommes », dit-il à l’AFP.

Le juif Tenenbaum a déjà le nombre de goyim à sacrifier d’entrée.

L’Ukraine se replie partout et à un rythme toujours plus rapide. Si rien ne change, le front finira par s’écrouler et l’armée russe pourra avancer partout.

Jared Kushner veut gagner du temps pour faire en Ukraine ce que l’OTAN a fait à Idlib avec les djihadistes lorsqu’ils étaient sur le point d’être écrasés par les Syriens, les Iraniens et les Russes : regrouper les forces, les rééquiper, les entraîner, déployer des forces conventionnelles européennes pour les appuyer le moment venu.

Il est peu probable que l’OTAN mise tout sur la crédulité de Poutine et qu’il décide de forcer le gel du front. Si ce n’est par la persuasion, alors par la force. Parmi les moyens d’y parvenir figure l’option d’introduire des armes nucléaires sur le territoire ukrainien.

Des rumeurs de plus en plus insistantes indiquent que c’est une piste sérieusement envisagée par les juifs de Washington.

The National Interest :

Avec l’utilisation récente de l’arme hypersonique Oreshnik et la déclaration subséquente du Kremlin selon laquelle la Russie déplace une tranche de ces armes dévastatrices vers la Biélorussie, la Pologne se sent à nouveau entre le marteau et l’enclume.

Et ce ne sont pas seulement les membres de l’OTAN, comme la Pologne, qui tentent de participer à l’escalade nucléaire contre la Russie. Les Ukrainiens semblent obsédés par la perspective d’obtenir (ou de récupérer, si l’on en croit leur propagande) des armes nucléaires de l’Occident.

Tout d’abord, l’idée que l’Occident autoriserait le stationnement d’armes nucléaires en Ukraine, pays non membre de l’OTAN, ou, ce qui est plus effrayant, qu’il les lui remettrait, est tout à fait insensée. Malheureusement, compte tenu de l’évolution de la guerre en Ukraine, cette idée ne peut être écartée (d’autant plus que les Américains ont autorisé l’utilisation de leurs ATACMS contre la Russie après avoir passé deux ans à refuser les demandes de l’Ukraine de les utiliser à l’intérieur de la Russie).

Quel que soit le pays européen qui « deviendra nucléaire », qu’il s’agisse du membre actuel de l’OTAN, la Pologne, ou de l’Ukraine, les lecteurs ne peuvent plus écarter la perspective que le génie nucléaire sera bientôt sorti de la bouteille en Europe de l’Est. Bien qu’il existe de nombreuses autres armes nucléaires plus puissantes qui pourraient être remises aux Polonais ou aux Ukrainiens, les B-61 sont probablement le meilleur choix (en particulier pour la Pologne).

Le B-61 joue un rôle central dans la politique de défense de l’OTAN depuis des décennies. Au fil des ans, des B-61 ont été stationnés en Belgique, en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas et en Turquie. Il peut également être tiré à partir du bombardier nucléaire furtif à long rayon d’action B-2 Spirit, du F-15E et, comme mentionné ci-dessus, du F-35.

La B-61 a été qualifiée de « choisissez une charge », car la gravité de l’explosion qu’elle provoque peut être réglée de 0,3 kilotonne à 360 kilotonnes. Ces armes peuvent supporter des vols supersoniques et possèdent des capacités de pénétration dans le sol qui leur permettent de percer des structures en dur. De nombreuses modifications ont été apportées au B-61 pour en faire l’une des meilleures armes apocalyptiques de l’OTAN.

Conçues au début des années 1960, au plus fort de la guerre froide avec l’Union soviétique, les scientifiques du laboratoire national de Los Alamos pensaient construire l’une des armes nucléaires les plus avancées au monde. Ces bombes ont d’abord été conçues pour remplacer les bombes nucléaires vieillissantes B-28 et B-43. La première B-61 a été testée en 1963 au Tonopah Test Range, dans le Nevada. La B-61 a également introduit la première « Full Fuzing Option », qui permettait différentes options de déploiement, en fonction de la mission. Il s’agissait notamment d’une explosion aérienne, d’une explosion au sol, d’une chute libre et d’un largage en position couchée.

Le dernier modèle américain, le B61-13, sera une variante « bombe à gravité » de cette arme puissante et durable. Une bombe à gravité est une bombe nucléaire larguée à partir d’un avion de guerre à capacité nucléaire et dont la puissance meurtrière et destructrice est totalement indiscriminée. En effet, elle est conçue pour maximiser le nombre de morts parmi les civils. On estime qu’une seule bombe à gravité B61-13 serait jusqu’à vingt-quatre fois plus puissante que les bombes nucléaires larguées par l’Amérique sur Hiroshima et Nagasaki à la fin de la Seconde Guerre mondiale.

La Russie ne s’est certainement pas comportée de manière innocente pendant la guerre.

Pourtant, force est de constater que les Américains et leurs alliés de l’OTAN ont refusé toutes les occasions de désamorcer le conflit en Ukraine, au point d’envisager sérieusement la possibilité de faire proliférer des armes nucléaires en Pologne ou, peut-être même, en Ukraine.

La Pologne, en tant que membre en règle de l’OTAN, a le droit de participer au programme de partage des armes nucléaires de l’Alliance. À ce stade, cependant, cela ne ferait que déstabiliser davantage la situation, rendant improbable toute chance de règlement pacifique entre l’Occident et la Russie au sujet de l’Ukraine.

Cette menace de déploiement nucléaire sera utilisée pour contraindre les Russes à stopper leur offensive et accepter l’arrivée de troupes de l’OTAN, notamment française.

Si les Russes refusent, ce sera l’escalade générale.

Cette spirale infernale pouvait être stoppée par l’utilisation d’une arme nucléaire tactique russe entre Alep et Hama au moment l’Axe du Mal a lancé son offensive. La cohorte de baiseurs de chèvres vaporisée, les candidats à la trahison serait rentrés dans le rang et purgés ultérieurement. Les cafards turcs auraient regagné leurs trous pour ne plus en sortir pour un siècle et les juifs auraient débranché la wifi.

Avec son pacifisme compulsif, Poutine ne cesse plus de créer des problèmes qui n’ont aucune raison d’exister en premier lieu. La Syrie est la dernière de ces crises qui auraient pu être évitée par une poigne de fer.

Il n’est pas trop tard pour lancer une bombe nucléaire sur Kiev et en finir avec le juif Zelensky et son régime terroriste.

C’est la dernière chance de stopper les hordes infernales avant qu’elles ne plongent le monde dans une guerre globale.

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