La Rédaction
Démocratie Participative
03 décembre 2024
Les juifs ont mis à profit la trêve au Liban pour poignarder dans le dos ceux des goyim qui ont été assez crédules pour l’accepter.
«Israël a violé le cessez-le-feu au Liban au moins 100 fois» —CNNpic.twitter.com/JDX5oxvmqD
— Claude El Khal (@claudeelkhal) December 2, 2024
Les juifs n’aimaient pas cette idée de cessez-le-feu, mais l’avait accepté le temps de détourner autant de soldats du Hezbollah que possible vers la Syrie où les djihadistes de l’OTAN ont lancé une brutale offensive.
Le ministre israélien de la Défense, Israel Katz, a déclaré mardi que si le cessez-le-feu conclu la semaine dernière venait à s’effondrer, Israël adopterait une stratégie plus agressive et viserait directement l’État libanais.
« Si nous revenons à la guerre, nous agirons avec une plus grande force, pénétrerons plus profondément et… il n’y aura plus d’immunité pour l’État du Liban », a-t-il affirmé lors d’une visite à la frontière nord d’Israël. Jusqu’à présent, Israël avait opéré une distinction entre le Liban et le Hezbollah, concentrant ses frappes sur les infrastructures et les membres de l’organisation soutenue par l’Iran. Mais Katz a averti que cette distinction prendrait fin en cas de reprise des hostilités.
Ces déclarations interviennent après une vague de frappes israéliennes qui ont tué près d’une douzaine de personnes. Ces actions faisaient suite à des tirs de deux projectiles par le Hezbollah en direction d’une zone occupée non peuplée, que le groupe a qualifiés de « mise en garde » contre les violations israéliennes. Depuis l’entrée en vigueur de l’accord, Israël a mené plusieurs frappes en réponse à ce qu’il considère comme des violations du cessez-le-feu par le Hezbollah. Avant les projectiles tirés lundi par le Hezbollah, Israël avait effectué au moins quatre frappes aériennes et des tirs d’artillerie dans le sud du Liban, selon des sources locales. Une frappe de drone a tué un motocycliste, et une autre a causé la mort d’un caporal des services de sécurité libanais.
Le cessez-le-feu, négocié par les États-Unis et la France, prévoit une période de 60 jours pour qu’Israël retire ses troupes du Liban et que le Hezbollah relocalise ses infrastructures militaires au nord du fleuve Litani. Une zone tampon sera ensuite sécurisée par l’armée libanaise et des casques bleus de l’ONU. Jusqu’à présent, cependant, la mise en œuvre de ces dispositions est compromise par des accusations mutuelles de violations. Le Liban affirme qu’Israël a violé le cessez-le-feu plus de 50 fois, incluant des frappes aériennes, des destructions d’habitations et des incursions aériennes au-dessus de la capitale Beyrouth. Israël, de son côté, soutient que ses frappes visent à répondre aux mouvements d’armes et d’infrastructures du Hezbollah au sud du Litani, ce qui constituerait une infraction majeure à l’accord.
Lors de sa visite à la frontière nord, Katz a également averti que toute violation du cessez-le-feu serait accueillie par une réponse maximale, marquant une position de « tolérance zéro ». Il a souligné que si la guerre reprenait, Israël élargirait ses cibles au-delà des zones traditionnellement liées au Hezbollah et qu’il n’y aurait « plus d’exemption pour l’État du Liban ».
Pendant les 14 mois de conflit avec le Hezbollah, Israël avait évité de cibler directement les infrastructures vitales du Liban ou l’armée libanaise, qui était restée largement en retrait. Cependant, de nombreux civils et soldats libanais ont été tués ou blessés au cours des hostilités. La menace de Katz de frapper des cibles d’État marque un durcissement significatif dans la posture israélienne.
Le juif Israël Katz est un terroriste particulièrement sanguinaire
Le durcissement de la position israélienne pourrait avoir des conséquences importantes pour la stabilité régionale. Une escalade qui impliquerait directement l’État libanais risquerait d’aggraver les tensions avec d’autres acteurs régionaux, notamment l’Iran, qui soutient le Hezbollah. La communauté internationale, et en particulier les médiateurs américains et français, pourrait également être mise sous pression pour intervenir rapidement et maintenir l’accord en place.
Du côté libanais, les accusations contre Israël s’intensifient, avec des responsables dénonçant les destructions et les incursions comme des violations flagrantes de la souveraineté du pays. Le Hezbollah, bien qu’ayant respecté le cessez-le-feu pendant plusieurs jours, a déclaré que ses tirs de lundi étaient une réponse aux actions israéliennes.
La situation reste extrêmement fragile. Alors que les deux parties affirment publiquement leur engagement envers l’accord, les actions sur le terrain indiquent le contraire. Si Israël intensifie ses frappes et élargit ses cibles, cela pourrait entraîner une réponse accrue du Hezbollah, et les hostilités pourraient reprendre à grande échelle. Le rôle des États-Unis, de la France et de l’ONU sera déterminant pour maintenir une communication entre les parties et éviter une nouvelle escalade. Mais le risque d’effondrement de l’accord demeure élevé, particulièrement dans un contexte de méfiance mutuelle et de violations répétées.
Le Hezbollah a commis erreur après erreur depuis le début de la guerre des juifs contre Gaza.
Nasrallah a tergiversé pendant un an avant d’entrer en action, ce qui a permis aux juifs de monter une campagne tous azimuts contre le mouvement avec l’aide massive des USA.
Il en est mort.
🎥 [#Vidéo] Des partisans du Hezbollah se sont rassemblés près du lieu où Hassan Nasrallah a été tué lors d’une frappe israélienne le 27 septembre dernier, dans la banlieue sud de Beyrouth, pour rendre hommage au leader du parti.
pic.twitter.com/x0ERF3BK0o— L’Orient-Le Jour (@LOrientLeJour) November 30, 2024
Ce cessez-le-feu était une erreur psychologique encore plus grossière, puisqu’elle démontre que le leadership du Hezbollah est affaibli. À l’origine, il était entré de lui-même dans la lutte pour alléger la pression sur Gaza. En acceptant cette trêve fictive, il a donné le signal aux juifs d’accentuer leur campagne de terreur.
L’Iran n’a pas plus été capable de faire la différence, en dépit d’actions symboliques.
Le problème central est connu : l’absence de protection aérienne au dessus de la Syrie. C’est le résultat du philosémitisme de Vladimir Poutine qui donne depuis 10 ans toute latitude aux juifs dans leurs menées criminelles dans le pays, ce qui prive les forces iraniennes d’une protection solide pour assurer un appui décisif au Hezbollah.
Poutine pensait se ménager des attaques juives, le résultat a été l’exploitation de la situation par un troisième acteur : Erdogan, l’opportuniste entre tous.
Avec l’arrivée de Jared Kushner à la Maison Blanche, les juifs ont déjà extorqué de fabuleuses concessions en Amérique. La femme de Netanyahu est partie y faire laver son linge en plus de ratifier les promesses inavouables de Kushner.
L’éradication de la population de Gaza est au programme, suivie de l’annexion du reste de la Palestine occupée, et enfin la conquête de territoire libanais qui seront ajoutés à la colonie juive.
Mais surtout, une guerre totale à l’Iran et, in fine, à la Russie, les deux états étant stratégiquement liés.
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