Le Tchad et le Sénégal ordonnent à l’armée française de dégager !

La Rédaction
Démocratie Participative
29 novembre 2024

 

Le Sénégal ne veut plus de l’armée de Macron.

Le Tchad non plus.

Il reste encore deux pays de ce continent maudit à quitter : le Gabon et la Côte d’Ivoire.

On part de loin.

Le plus effrayant, c’est que si ces Noirs ne s’étaient pas collectivement excités contre la présence de l’armée française ces derniers temps, nous y serions restés pour toujours.

Un Reich crépu qui devait durer mille ans.

Materner les nègres est le plus puissant des psychotropes en usage parmi les élites parisiennes. Le rush de sérotonine que ce câblage neuronal procure chez ceux qui s’y adonnent est extrêmement addictif.

Pour appuyer cette vilaine présence militaire en Afrique de l’Ouest, l’État français disposait d’une pépinière associative sur tout le territoire où des Blanches névrosées étaient mobilisées pour aller creuser des feuillées chez les sauvages. Moyennant un travail physique intense où elles étaient au service total du Nègre somnolant, elles s’y faisaient bourriquer des nuits entières dans la case sacrée du village.

Le Nègre, d’ailleurs, n’en croyait pas ses yeux.

Un flux constant de femmes blanches venues de la France providentielle se ruaient jusque devant sa cahute pour s’y faire engrosser par Sa Majesté avec la bénédiction de la guilde des marabouts locale.

Combien de négrillons ont ainsi passé la frontière avant d’éclore dans une maternité de Beauvais ou de Rennes ? Nous ne le saurons probablement jamais, mais cette floraison de mulâtres a alimenté en cadres métis l’agitation raciale que LFI met désormais en mouvement sous la direction farouche de femmes blanches obèses, à l’instar de Mathilde Panot, Chrétienne à nègre sans reproche.

Nous n’avons plus l’Afrique noire francophone, mais comme l’Algérie, nous avons conservé ses rejetons. Mieux, nous les importons, en quantités toujours plus énormes, avec des montages administratifs d’une rare complexité que les femmes françaises de notre glorieuse bureaucratie républicaine s’ingénient à faire enfler, comme le ventre des Blanches avides du foutre de ces cafres stupéfaits. Tel nègre pour étudier, tel nègre pour se faire soigner, tel autre après avoir arrimer un négrillon dans le buffet d’une Magalie à tresses africaines, c’est sans fin.

Dans leur vice insondable, les élites dirigeantes se sont assurées une réserve de cafres pour temps de vaches maigres, une réserve stratégique, si vous voulez, comme pour l’essence : Mayotte.

Ceux-là, on nous les a greffés sur la peau du cou.

Cette colonisation éphémère où nous nous sommes rendus coupables d’avoir vacciné, nourri, et, pire, alphabétisé (approximativement) des nègres, va nous hanter pendant longtemps de sa malédiction génétique. Comme le fond d’un étang dont on aurait agité la vase et dont nous serions les poissons prisonniers.

Apprendre le français à des nègres, avouez que c’est le pire crime jamais commis contre la culture.

Enfin, comment ne pas compatir à la grande souffrance des souverainistes français qui conditionnaient leur grand projet à la résurrection de l’empire créole, un pied à Saint-Ouen, un autre à Tombouctou ?

C’est la fin.

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