Le péril du judéo-christianisme : le précédent de Stalingrad

La Rédaction
Démocratie Participative
05 décembre 2024

 

CNews surchauffe de rage.

Jusqu’au bout Bolloré-Goldschmidt a tenté d’intimider le RN pour sauver la clique de droite alliée aux macronistes dont Barnier et Retailleau sont les ignobles représentants.

Ça n’a pas marché.

Pour une fois, Marine Le Pen aura été utile à quelque chose.

Entre deux interventions de Jakubowicz, l’avocat juif de la LICRA, la chaîne du judéo-christianisme a invité un tonsuré pour divaguer. L’homosexualité pointait tellement que l’effet n’en a été que plus grotesque.

C’est l’occasion de rappeler qu’à l’exception de quelques uns de leurs membres, les églises chrétiennes sont fondamentalement liées à la juiverie.

Protestants ou catholiques, c’est indifférent.

Leur rôle dans la défaite cataclysmique de l’Allemagne nationale-socialiste, dont nous payons aujourd’hui le prix exorbitant, doit rester pour toujours un acte d’accusation contre ces organisations ennemies de la race blanche.

Le rôle des chrétiens dans la défaite allemande à Stalingrad est édifiante à cet égard.

Alors que l’Atlas germanique tend ses muscles au maximum de l’effort pour sauver le continent de l’abîme, dans l’ombre la racaille chrétienne espionne, trahit, informe les hordes barbares commandées par les juifs qui se ruent sur le vieux continent.

Johann von Leers dans « Der Weg » (1957, numéro 5/6) explique comment les cercles chrétiens informaient l’Armée rouge à ce moment critique :

« On s’est toujours demandé où l’ennemi avait appris tant de secrets allemands pendant la guerre. Friedrich Lenz s’est penché sur cette question. Il écrit : « Lucy (l’une des organisations d’espionnage soviétique en Allemagne) fournissait quotidiennement à Moscou les derniers rapports sur la situation des troupes allemandes sur le front de l’Est. Ces informations ne pouvaient provenir que du haut commandement de l’armée lui-même. Ces informations n’étaient pas disponibles quotidiennement auprès d’autres bureaux en Allemagne ». Mais qui était le traître ? Le louable auteur exhume le témoignage du prêtre lucernois Karrer qui, interrogé lors d’un procès en Suisse sur la source de ces informations, a déclaré ouvertement : « Je sais que l’information est venue du camp chrétien et qu’elle a été transmise par des personnalités qui collaboraient avec le Conseil œcuménique de Genève, qui lui-même était en contact avec l’amiral Canaris (le chef des services secrets allemands) ».

Le traître Canaris

On s’est toujours demandé d’où l’ennemi tenait cette somme pendant la guerre. Nous savons aujourd’hui, grâce au livre de l’Anglais Ian Colvin « Chief of Intelligence », que Canaris était un traître à la patrie et un agent britannique ; le pasteur Dietrich Bonhoeffer, exécuté pour sa trahison envers la patrie et qui a prié Dieu pour la défaite de l’Allemagne pendant la guerre dans un cercle d’ecclésiastiques non allemands, était en contact avec le Conseil œcuménique… Lenz prouve également que le premier plan d’avance allemand sur Stalingrad, la « directive du Führer » du 11 novembre 1941, avait déjà été transmis à Moscou le 14 novembre par un télégramme de la Chapelle rouge, qui avait été fourni par des « cercles chrétiens ». Il n’est donc pas étonnant que les Russes aient pu se préparer – et que l’armée allemande avançant sur Stalingrad n’ait pas pu surprendre l’ennemi… L’agent Pünter déclare « qu’en septembre 1942, il avait reçu d’une de ses lignes catholiques, dont le terminal se trouvait dans un monastère catholique près de Fribourg, un document complet contenant des données sur l’imminence de l’offensive allemande à Stalingrad… »

Le traître Dietrich Bonhoeffer

Tout a été trahi, le plan d’avance allemand a été mis entre les mains des bolcheviks, des centaines de milliers de soldats allemands courageux et loyaux ont été livrés à la mort et à la captivité russe – par des « cercles chrétiens » qui se vantaient bruyamment de leur « activité de résistance » après la défaite – et ont été immédiatement récompensés par l’école confessionnelle, c’est-à-dire le droit de former spirituellement la jeunesse de notre peuple pour eux-mêmes. »

Si les juifs poignardent dans le dos, il n’y a rien de surprenant là-dedans.

Il n’en va de même pour ceux qui sont spirituellement des sémites, invoquent et prient Yahveh, et naviguent dans le monde blanc pour l’empêcher de retrouver sa vitalité raciale originelle en invoquant cette idole impie issue du désert proche-oriental.

Le cadavre chrétien continue de tout contaminer de sa putréfaction.

Ce corniaud de Bergoglio, dernier salopard d’une longue lignée de saboteurs, entend venir fourrer son nez en Corse d’où il appellera à l’engloutissement complet de l’Europe sous les flots de nègres et de mahométans.

Cet oiseau-là doit contempler secrètement le projet de faire de l’île un nouveau Lampedusa.

Gardons un oeil sur les séides du papisme négrolâtre.

Ce n’est pas parce que leur religion est morte qu’ils comptent cesser de prêcher le communisme racial et de prêter leur concours à l’action mortelle des juifs.

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