Le gangster orange menace les BRICS de représailles s’ils abandonnent le dollar

La Rédaction
Démocratie Participative
01 décembre 2024

 

Le gangster orange n’est pas encore à la Maison Blanche qu’il menace déjà l’humanité de représailles pour le compte des banquiers juifs de New York.

L’idée que les pays du BRICS tentent de s’éloigner du dollar pendant que nous restons les bras croisés n’a plus lieu d’être. Nous exigeons de ces pays qu’ils s’engagent à ne pas créer une nouvelle monnaie des BRICS, ni à soutenir une autre monnaie pour remplacer le puissant dollar américain, faute de quoi ils seront soumis à des droits de douane de 100 % et devront s’attendre à dire adieu à leurs ventes dans la merveilleuse économie américaine. Ils peuvent trouver un autre « pigeon » ! Il n’y a aucune chance que les BRICS remplacent le dollar américain dans le commerce international, et tout pays qui s’y essaiera devra dire adieu à l’Amérique.

Les BRICS n’ont pas de projet de monnaie commune. À la place, ils utilisent de plus en plus leurs monnaies respectives pour commercer, ce qui prive les juifs du contrôle des circuits financiers internationaux.

Trump n’est que la créature de Kushner, lui-même membre d’une famille d’oligarques juifs newyorkais. Ces juifs constatent avec de plus en plus d’inquiétude que leur capacité de contrôles des capitaux se réduit à mesure que l’Eurasie s’organise de manière autonome.

Le bannissement de la Russie du système SWIFT a grandement contribué à renforcer la tendance.

Grâce à ce statut de monnaie de réserve mondiale, les Américains peuvent financer artificiellement un train de vie dont ils n’ont pas les moyens.

Ils émettent de la dette qui se dilue immédiatement dans la masse de dollars mondiale. Aujourd’hui, 70% des dollars physiques sont en dehors des États-Unis et ce n’est qu’une fraction du total.

La Chine se débarrasse en masse de la dette américaine. Avec l’élection de Trump, cette tendance va rapidement s’accélérer.

Vous n’allez pas prêter le fric dont votre voisin a besoin pour acheter le flingue avec lequel il compte vous tuer.

Les menaces de Trump aggravent le sentiment de politisation du dollar, ce qui ne va faire qu’accélérer la dédollarisation. Avoir accès au marché américain est une chose, ne pas se faire voler comme les Russes en est une autre. Pour un état, la sécurité de ses fonds prime des bénéfices hypothétiques.

Il n’y a pas de discussions possibles avec ZOG.

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