La flicaille française va gémir aux USA pour faire fermer DP sur GAB.com !

La Rédaction
Démocratie Participative
28 novembre 2024

Des champs battus par les obus d’Ukraine aux vallées libanaises dévastées par l’aviation israélienne, des conférences de l’AIPAC à Washington au groupe de Democratie Participative sur Gab, les juifs mènent une guerre mondiale contre l’humanité.

Le gouvernement français a contacté https://t.co/J3RftnOEqv ce matin pour nous demander de bannir un groupe Gab de près de 2 000 utilisateurs pour « discours de haine ». Nous ne le ferons pas.

Je leur envoie cette image en guise de réponse.

The French government contacted https://t.co/J3RftnOEqv this morning demanding that we ban a Gab group of almost 2,000 users for “hate speech.” We will not be doing so.

I’m sending them this image as a response. pic.twitter.com/fWZDuuWKe6

— Andrew Torba (@BasedTorba) November 28, 2024

Le canal n’est plus actif d’ailleurs, comme GAB en général. Les groupes ne marchent pas sur les réseaux sociaux.

Andrew Torba

Je remercie Torba au nom de tous ici. Comme il me l’a confié plus tôt cette année, les flics américains (FBI) détestent les flics français qu’ils appellent génériquement au téléphone « those french faggots ».

On peut difficilement leur donner tort. Les flics français sont de telles pédales qu’ils se font victimiser par la race la plus vaincue de l’histoire que sont les Algériens.

Imaginez ramper devant des Algériens.

Pour mesurer la chose, imaginez-vous dans un amphithéâtre chauffé à 17 degrés un mois de février, à Argenteuil par exemple, avec dix feuilles blanches et quatre heures pour répondre à cette question : « Qu’est-ce qu’a réussi l’Algérie ? ». Vous auriez non seulement le vertige, mais aussi une notion du néant primordial.

Ils se sont littéralement faits passer dessus par tous les empires de l’histoire avant de passer sur les flics français qui nous passent dessus (pour notre plus grande honte collective).

Bizarrement, les flics américains, et les Américains en général, n’ont un semblant de respect que pour les seuls néo-nazis français. Dans leur esprit, et à raison, c’est la chose qui s’approche le plus de ce qui pourrait être réellement masculin en France.

Bref, pour en revenir au point de départ de la discussion, les flics français sont d’énormes fiottes et ça se sait bien au delà des frontières de l’Hexagone.

« Oh non, ce groupe diffuse des commentaires racistes, anti-sémétiques, et négationnistes ! Notre collègue Mamadou Ngolo est très choqué par la violence de ces propos ! Sa femme (française) n’en dort plus la nuit ! Le contenu est haineux et clairement illégal ! Si vous ne faites rien, ce serait très grave ! »

Si vous voyez un flic au crâne rasé, une fois sur deux il baise une beurette (source : statistiques maison).

Comme nous l’avons expliqué dans le podcast de cette semaine, nous voulons (re-)construire un forum sur TOR, très loin de ces sales flics à la botte des juifs. Cela permettrait à nos nombreux lecteurs, sympathisants et partisans, surtout les plus fanatiques, de commenter l’actualité, d’apporter des précisions sur divers sujets abordés, etc..

Après 15 ans, les gens commencent à saturer des réseaux sociaux dans leur format actuel. Les forums permettent des discussions construites, ce que ne permettent pas les réseaux sociaux dont la dernière raison d’être en 2024 est d’insulter les juifs, les femmes et les gens de couleur.

Si vous croulez sous les shekels, vous devriez songer à nous aider, car ce projet nécessitera d’employer une petite équipe de codeurs pour le mettre au point et comme il est hors de question d’employer des chieurs de rue à cette fin, ça nous coûtera un budget certain, sinon un bras.

Le gouvernement a vraiment détesté l’opération de cette semaine et nous en payons les conséquences. Notre nom de domaine a sauté, ces flics enjuivés tentent de faire du zèle en censurant ce qui ne l’a pas encore été, comme le groupe GAB, et ils vont encore allier miauler allez savoir où pour montrer que leurs salaires outrageusement élevés ne sont pas totalement détournés.

À la décharge des bourres, la presse juive était ivre de rage.