Démocratie Participative https://cnews.rest Le site le plus censuré d'Europe Wed, 11 Dec 2024 21:05:24 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9 Démocratie Participative S09E43 : « L’affaissement » /democratie-participative-s09e43-laffaissement/ Wed, 11 Dec 2024 21:05:24 +0000 /?p=93963 Emission
Démocratie Participative
11 décembre 2024

Bonne écoute :

Pour télécharger directement l’émission, sur le lecteur ci-dessus cliquez sur cette icône  :

Ou la télécharger ici (Une fois sur la page, clic sur les trois points puis « Enregistrer sous »/ »Download »)

Les participants :

Le programme : 

Rubrique n°1 « Courrier des lecteurs »

Courrier n°1 : Survivre à l’eau du robinet

Courrier n°2 : Ghislain d Diesbach de Belleroche

Rubrique n°2 « Éternègre »

Affaissement à Notre-Dame

PAUSE : « Dieu, Syrie, Bachar », Rami Kazour

Discussion : la chute de Damas

Goyim, shekels SVP

Monero :

88kr9DrDeJbF4axJvVATB8K9iAtfDnvQCAdmriw3ddHAjgimfePFKkF76j3MdzRFm67RrFMUHM48pZm98zjjKRZAB4AHPkw

]]>
La Syrie djihadiste sera une « économie de marché » annonce le régime fantoche d’Erdogan /la-syrie-djihadiste-sera-une-economie-de-marche-annonce-le-regime-fantoche-derdogan/ Wed, 11 Dec 2024 15:38:19 +0000 /?p=93954 La Rédaction
Démocratie Participative
11 décembre 2024

Smotrich, ministre des shekels de Tel Aviv, a un deal pour les djihadistes de Damas : leurs terres contre quelques pièces d’or

Les premières positions fondamentales du gouvernement djihadiste de Syrie sont intéressantes à observer. Elles sont sans conteste dictées par la Turquie néo-ottomane.

Premièrement, l’économie sera une « économie de marché ». Il s’agit pour la Turquie d’obtenir la reconnaissance de son projet politique en Syrie en échange d’une ouverture privilégiée au business de la « reconstruction » (les dollars juifs).

Reuters :

Le nouveau gouvernement syrien a déclaré aux chefs d’entreprise qu’il adopterait un modèle de marché libre et intégrerait le pays dans l’économie mondiale, ce qui représente un changement majeur par rapport à des décennies de contrôle étatique corrompu, a déclaré mardi le chef du plus grand lobby d’entreprises syriennes.

« Il s’agira d’un système de marché libre basé sur la concurrence », a déclaré Bassel Hamwi, directeur de la Chambre de commerce de Damas, lors d’une interview accordée à Reuters, trois jours après que les forces rebelles ont renversé le président Bachar al-Assad, ouvrant ainsi un nouvel onglet, mettant fin à une autocratie familiale qui durait depuis 54 ans.

La presse occidentale présente déjà le système national-socialiste syrien comme une espèce de nuit économique.

C’est ce système, tiré du désert syrien par le parti baasiste, qui a créé un état moderne avec une économie en pleine ascension. Ce sont les succès du gouvernement de Bachar al Assad qui ont contribué à aiguiser les appétits des requins internationaux habituels.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes. La richesse nationale était en pleine ascension.

Le gouvernement autoritaire de Bachar al Assad veillait à ce que l’État reste l’acteur central de l’économie dans un pays hétérogène et encerclé par des acteurs hostiles, foncièrement déterminés à détruire l’État syrien.

Ceux qui gémissent à propos du système autoritaire en place en Syrie sont des idiots qui n’ont jamais eu à naviguer dans un environnement aussi violent et prédateur que le Proche-Orient. Si l’on doit blâmer Bachar al Assad, c’est pour sa trop grande magnanimité.

Pour que le système fonctionne, il fallait que l’élite biologique du pays soit en charge – les Alaouites. Contrairement à ce racontent les médlas juifs, c’était dans son propre intérêt. Minoritaires et essentiellement concentrés sur la côte, un énorme déséquilibre économique en leur faveur aurait rendu impossible leur centralité politique en Syrie. Le système socialiste, même s’il souffrait de corruption, garantissait leur position politique moyennant la redistribution à l’échelle du pays dans une perspective nationale dégagée des influences sunnites extérieures.

Pour détruire l’État syrien, il fallait que les puissances hostiles détruisent le pouvoir des Alaouites en excitant la majorité sunnite contre les Alaouites, pilier du succès syrien.

Nous y sommes.

À présent, la masse sunnite issue des coins les plus éloignés de la Syrie, veut bouffer gratuitement, en application de la démagogie djihadiste. Cette propagande démocratique lui fait croire que sa seule majorité démographique lui assure la prospérité. Pour prix de sa stupidité, elle ne va recevoir qu’une petite oligarchie protégée par des fondamentalistes coupeurs de têtes.

Les tyrans sunnites au pouvoir n’ont plus aucune preuve de légitimité à fournir puisque le nouveau paradigme est purement religieux et démographique/démocratique. À chaque fois que la populace se plaindra, les médias sunnites de Damas les accuseront de vouloir revenir à « l’époque maudite du tyran alaouite Assad », celui-là qui, avec son père Hafez, leur a donné un pays digne de ce nom en premier lieu.

D’éminents hommes d’affaires syriens, qui, à l’instar d’une grande partie du pays, attendent des indices sur la manière dont la nouvelle administration syrienne, dirigée par un groupe islamiste, gérera le pays, ont accueilli favorablement les signaux indiquant que l’économie serait ouverte aux investissements, essentiels pour reconstruire le pays après la dévastation généralisée causée par 13 années de guerre civile.

Mais ils ont déclaré qu’ils attendaient toujours de voir si Hayat Tahrir al-Sham, l’ancienne branche d’Al-Qaïda qui a depuis renié ces liens et mené l’offensive des rebelles, tiendrait ses promesses.

Ce n’est pas « l’ancienne ».

C’est Al Qaeda sans le nom.

« Les gens attendent toujours de voir s’il s’agira d’une société ouverte ou d’un État islamique », a déclaré un homme d’affaires syrien basé à Beyrouth, qui a demandé à ne pas être nommé pour pouvoir parler librement.

Est-ce que les Libanais peuvent arrêter d’être naïfs ou c’est de nature ?

Les sanctions occidentales, la destruction des grandes villes commerciales et industrielles d’Alep et de Homs au cours des 13 années de guerre et la perte des recettes en devises provenant des exportations de pétrole se sont conjuguées pour briser l’économie. Les dégâts sont estimés à des dizaines de milliards de dollars.

Cela me rappelle quelque chose.

De 2011 à 2015, Bachar al Assad et l’armée syrienne ont résisté héroïquement à tous les assauts, en dépit de l’armada colossale assemblée par l’OTAN, la Turquie et les états du Golfe pour le détruire.

Qu’il ait même résisté plus de quelques mois démontre la formidable résilience de l’État national-socialiste syrien. Le déséquilibre des forces était tout simplement colossal. Les djihadistes affluaient de tout le globe.

Avec l’aide russe et iranienne, les bandes djihadistes internationales ont ensuite été écrasées, mais le blocus économique a perduré 6 années sans aucune fin en vue. La Russie, l’Iran, la Chine n’ont pas voulu ou pu reconstruire le pays.

En 2024, un soldat syrien touchait 7 dollars par moi quand un djihadiste de Joulani touchait 2,000 dollars par mois, plus que bien des salariés français.  Dans un pays en ruines, sous embargo, sans solution, c’était une situation insoluble pour le gouvernement syrien, malgré les efforts considérables pour tenter de sortir le pays de la guerre et de la misère. À la fin, l’état syrien moderne n’était plus que l’ombre de lui-même, réduit au racket et au trafic de drogue pour survivre. C’était le résultat de 13 ans de guerre imposée à un pays qui ne menaçait personne.

La propagande sur les « crimes de guerre » ou les « atrocités » est un classique des puissances occidentales. Elle permet d’utiliser les émotions pour faire disparaître le contexte du conflit, ses causes, ses responsables.

Avant que les manifestations de rue contre le régime d’Assad n’éclatent en mars 2011, la livre syrienne valait environ 50 pour un dollar. Aujourd’hui, elle en vaut plus de 15 000, ce qui a entraîné une inflation galopante qui fait que de nombreux commerçants ont du mal à fixer le prix de leurs marchandises.

Les économistes considèrent que la stabilisation et l’ouverture de l’économie sont essentielles pour encourager les nouveaux investissements dont le pays a désespérément besoin et le retour potentiel de millions de Syriens, y compris de nombreux membres de la classe moyenne éduquée, qui ont fui la guerre.

« La Syrie dispose d’une énorme diaspora, instruite et relativement riche, qui voudra reconstruire le pays. Elle pourrait connaître une croissance à deux chiffres pendant des années », a déclaré un haut responsable financier régional, sous couvert d’anonymat.

Il y a zéro chance pour que ces gens se bousculent reconstruire l’émirat djihadiste de Damas. Ils le disent sans s’en cacher.

M. Hamwi a déclaré qu’il recevait constamment des appels d’hommes d’affaires syriens à l’étranger désireux de comprendre comment le nouveau gouvernement allait aborder le commerce. Il les a exhortés à rentrer chez eux et a souligné les besoins d’investissement massifs pour la reconstruction, l’industrie et les services.

« Ils seront les principaux contributeurs au développement de la Syrie », a-t-il déclaré.

Si les moudjahidines meurent pour une idée, aussi fumeuse soit-elle dans une boîte crânienne aussi comprimée que celle du bougnoule moyen, l’idéalisme, aussi brutal et archaïque soit-il, ne remplit pas les assiettes, ni les comptes bancaires. Ces gens qui se sont battus pour édifier un émirat fondé sur le monothéisme intégral seront vite contraints, pour ce qui concerne l’ordre intérieur, de se limiter à fliquer la tenue vestimentaire des Syriens et à bolosser quelques minorités, rien de plus.

Pour radical qu’il soit, notre ami Jolani reste un bougnoule et les bougnoules ne sont jamais véritablement de bons musulmans sans des montres en or massif, des tigres domestiques et des voitures italiennes qui vont avec.

D’ailleurs, la traînée Meloni se propose de fournir le gang djihadiste de Damas en Testarossa, Lamborghini et Ferrari.

Département des affaires politiques du nouveau gouvernement syrien :

Nous avons tenu une réunion avec les ambassadeurs d’Irak, de Bahreïn, d’Oman, d’Égypte, des Émirats arabes unis, de Jordanie, d’Arabie saoudite et d’Italie.

La réunion a été positive et les ambassadeurs ont promis une coordination de haut niveau avec le nouveau gouvernement.

Le Qatar ouvrira son ambassade à Damas dans quelques jours.

L’aéroport international sera mis en service dans quelques jours et les travaux de nettoyage et de maintenance ont commencé aujourd’hui.

De son côté, Erdogan travaille au fonctionnement de sa future colonie dont il n’a aucune envie de financer le redémarrage. Pour que les capitaux occidentaux affluent dans sa « démocratie de marché » dont il veut se réserver les parts de la « reconstruction », il faut une vitrine démocratique compatible avec les standards exigés par la finance juive internationale et l’UE.

Des partis, des élections, bref, tout le théâtre habituel. Erdogan est confiant quant à sa capacité de monter cette fiction démocratique pour les médias occidentaux tout en structurant dans le désert sa plateforme djihadiste globale pour ses besoins à venir.

Tout cela sera négocié à huis clos avec les éléments malléables des groupes djihadistes et des éléments rapidement recyclés de l’ancien système.

Contre la censure

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.

 

]]>
L’augmentation des retraites multipliée par 3 grâce au nouveau budget ! /laugmentation-des-retraites-multipliee-par-3-grace-au-nouveau-budget/ Wed, 11 Dec 2024 11:09:20 +0000 /?p=93950 La Rédaction
Démocratie Participative
11 décembre 2024

Avec le monde qui implose, la France demeure une île de stabilité. Les priorités sont invariablement maintenues, peu importe les circonstances.

France Info :

Les retraités sont désormais fixés. La revalorisation annuelle des pensions de base qui interviendra le 1er janvier sera de 2,2%, a annoncé le ministère du Budget à franceinfo, mardi 10 décembre, confirmant une information de Ouest France(Nouvelle fenêtre). Dans la dernière version du projet de budget de la Sécurité sociale pour 2025, le gouvernement de Michel Barnier prévoyait une augmentation moins importante en début d’année, estimée à 0,8%.

Grâce à la chute de Barnier, c’est une augmentation triplée qui est votée !

En vertu du Code de la Sécurité sociale, les retraites de base (hors complémentaires) sont chaque année revalorisées au 1er janvier, indexées sur l’inflation constatée par l’Insee pour l’année précédente. Pour économiser trois milliards d’euros, le gouvernement et la droite sénatoriale s’étaient accordés pour modifier ces règles en 2025, avec une hausse de moindre importance en début d’année, avant un complément permettant une revalorisation globale de 1,6% en juillet pour les retraités dont le total des pensions (de base et complémentaire) ne dépasse pas 1 500 euros brut.

Cette augmentation coûtera 6,5 milliards d’euros à financer par la dette (avec intérêts), impôts et taxes.

Laissez ces gens parler de leur formation d’un « gouvernement », le véritable gouvernement, lui, ne change jamais.

Contre la censure

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.

]]>
Enfin : les marchés de Noël halal arrivent /enfin-les-marches-de-noel-halal-arrivent/ Wed, 11 Dec 2024 09:06:43 +0000 /?p=93946 Leutnant
Démocratie Participative
11 décembre 2024

 

C’est Noël ou l’islam qui s’assimile ?

« Bismilleuah »

Contre la censure

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.

]]>
Syrie : le djihadiste en chef Jolani se soumet à Israël et dit ne pas vouloir d’une guerre avec les juifs /syrie-le-djihadiste-en-chef-jolani-se-soumet-a-israel-et-dit-ne-pas-vouloir-dune-guerre-avec-les-juifs/ Wed, 11 Dec 2024 08:09:26 +0000 /?p=93939 La Rédaction
Démocratie Participative
11 décembre 2024

 

La démocratisation des djihadistes est en cours, mais il y a une condition très importante à remplir : la soumission absolue à Tel Aviv et à ses buts stratégiques.

Netanyahu, qui n’est pas exactement un protecteur des musulmans, a pris la parole à cet effet, promettant beaucoup d’amour aux égorgeurs d’Al Qaeda, moyennant une alliance contre l’Iran.

Si le nouveau régime syrien permet à l’Iran de se rétablir ou autorise le transfert d’armes au Hezbollah, nous réagirons fermement et exigerons de lui un lourd tribut.

Comme on le voit, ces baiseurs de chèvres n’ont jamais représenté un problème pour les véritables maîtres de la région.

Cela tombe plutôt bien car Jolani, l’émir djihadiste à la tête de la Syrie ottomane, ne veut plus de guerre. Du moins, pas contre les juifs.

Il vient de déclarer que son seul problème est l’Iran.

🇸🇾 Le chef du HTS, Jolani, a été directement interrogé sur son intention d’intervenir contre les attaques d’Israël contre la Syrie et son occupation des territoires du sud de la Syrie.

Il a répondu : « La Syrie n’entrera pas dans une nouvelle guerre [avec Israël]. Le pays n’est pas prêt pour une nouvelle guerre. Notre plus grande menace était le Hezbollah et les milices chiites soutenues par l’Iran en Syrie.

Il ne faudra pas longtemps pour que les juifs pressent davantage le citron, comme à leur habitude.

Si ces djihadistes veulent pouvoir exister dans trop de difficultés à Damas, ils devront reconnaître tôt ou tard le régime de Tel Aviv et accepter la réalité qu’a créé l’armée juive ces deux derniers jours : la Syrie est une terre démilitarisée, sans armes stratégiques et sans armée conventionnelle, qui doit accepter la domination israélienne et le reconnaître officiellement. Pour le reste, ils devront s’en remettre à la Turquie et à l’OTAN.

S’ils le font docilement, leur normalisation sera garantie par les juifs de Washington et, dans la foulée, par l’UE, leur branche européenne. C’est déjà en discussion.

Le Middle East Eye indique que les responsables de l’administration Biden envisagent de supprimer la prime de 10 millions de dollars accordée à al-Jolani et de retirer le HTS de la liste des groupes terroristes.

Lors de sa conférence de presse, Joe Biden a fait allusion à une aide directe au nouveau gouvernement d’al-Jolani.

La CIA décide qui est un « terroriste » et qui ne l’est pas, en fonction de sa subordination ou pas aux intérêts juifs.

« J’ai changé, je veux reprendre mes études »

Cette position revient à donner carte blanche à Erdogan pour mener le djihad contre d’autres états régionaux sur le modèle syrien.

Ce n’est pas nécessairement une mauvaise affaire pour les juifs qui vont se poser en allié des tyrannies arabes locales. Jared Kushner va utiliser cette ficelle à fond.

Les états arabes ont compris la menace et supplient les conseillers (juifs) de Biden de ne pas reconnaître officiellement Al Qaeda en Syrie.

Middle East Eye :

L’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et l’Égypte ont été pris au dépourvu par ce qu’un diplomate égyptien a décrit à Middle East Eye comme le « changement rapide d’image » du HTS, une ancienne filiale d’Al-Qaïda.

Les Émirats arabes unis ont également été déconcertés par les manœuvres des États-Unis visant à ouvrir des voies de communication vers HTS via la Turquie, selon un haut fonctionnaire occidental.

MEE s’est entretenu avec un haut fonctionnaire occidental, un diplomate égyptien et un fonctionnaire du Golfe travaillant sur la Syrie pour évoquer les discussions diplomatiques sensibles au moment où le gouvernement de transition syrien prend forme.

Avant que les HTS ne lancent une offensive rapide pour s’emparer de Damas, les Émirats arabes unis servaient d’intermédiaires entre le gouvernement de Bachar el-Assad et les États-Unis. Les Émirats arabes unis souhaitaient conclure un grand accord pour maintenir la famille Assad au pouvoir et faciliter l’allègement des sanctions américaines en échange de la fermeture par Assad des lignes d’approvisionnement en armes iraniennes.

Assad a refusé cet accord. Les choses étant figées, les djihadistes sont passés à l’attaque avec l’appui secret de la Turquie, des USA et bien sûr de Tel Aviv et ce au lendemain du « cessez-le-feu » entre le Hezbollah et Netanyahu.

« Les Émiratis sont livrés à eux-mêmes », a déclaré à MEE un haut fonctionnaire occidental travaillant sur la Syrie. « Les Américains se tournent vers les Turcs. Les Émirats arabes unis ont tellement investi dans Assad qu’ils se retrouvent les mains vides. »

La méfiance qui s’installe présente des similitudes avec la période qui a suivi le printemps arabe de 2011, lorsque l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis se sont opposés aux manifestations populaires contre les autocrates du Moyen-Orient et ont accusé la Turquie et le Qatar de soutenir les Frères musulmans.

« Les dirigeants déjà paranoïaques à l’égard des islamistes de type Frères musulmans devront soudain faire face à quelque chose qui ressemble aux Frères musulmans sous stéroïdes et qui est bien plus dangereux et imprévisible », a déclaré à MEE Aron Lund, un expert de la Syrie chez Century International.

Ces dirigeants ont raison.

Erdogan ne peut plus être arrêté. Bachar al Assad était le seul homme déterminé à le stopper. La prochaine cible du Sultan est le Liban. Il peut aisément convaincre les juifs de le soutenir implicitement en leur faisant miroiter le désarmement du Hezbollah. Une fois le Hezbollah neutralisé, le Liban sera de facto rattaché à l’aire d’influence turque, comme la Syrie.

Là où les choses vont se corser, c’est lorsque Erdogan exigera du roi-nègre de Jordanie de se soumettre. Ce pays étant un protectorat juif, la pression va devenir intenable à mesure qu’Erdogan utilisera les quelques 20% de palestiniens du pays comme levier d’agitation.

La Syrie avait une armée et elle a pu résister pendant 14 ans aux assauts des djihadistes soutenus par l’OTAN. La Jordanie n’a pas d’armée, uniquement la protection de l’armée américaine. C’est la seule chose qui tienne les Ottomans à distance.

Il y a également la question kurde. Erdogan veut en faire ses esclaves, mais le régime sioniste n’a pas l’intention de laisser les ottomans prendre trop de poids, notamment pour détourner les Turcs de la Jordanie. Ces kurdes vont devoir saigner abondamment pour la sécurité des juifs.

Les ordres sont déjà donnés et le service média de Netanyahu ne perd pas de temps à donner leurs consignes aux Français.

Erdogan suit un plan méthodique qui vise à annuler le résultat du démantèlement de l’empire ottoman en 1918. Il ne peut pas annexer les états issus de ce démantèlement, mais il peut les réduire au statut de colonies turques via ses proxys djihadistes.

Les Arabes qui se sont battus pour échapper au joug des hordes mongoles d’Anatolie aux côtés des Britanniques n’ont aucune envie de redevenir les esclaves de ces Turcs.

Les djihadistes qui sont arrivés à Damas ont immédiatement désigné l’Arabie Saoudite comme la cible à abattre. L’objectif à terme est de donner le contrôle de La Mecque aux Ottomans.

L’Arabie Saoudite, aussi radicale soit-elle, est un royaume qui distingue le pouvoir politique du pouvoir religieux. Une impossibilité pour les djihadistes qui exigent une théocratie.

Les fondamentalistes saoudiens, payés par leur monarque, les appellent les « Khawarij », terme qu’ils appliquent à tout mouvement djihadiste qui remet en cause la monarchie saoudienne.

Nous nous réjouissons de la chute du vil Nusayri Taghut, mais nous mettons en garde la jeunesse musulmane contre le risque d’être trompée par le credo des Khawarij déviants, qui cherchent à commettre un sacrilège dans la sainteté de la Terre sacrée d’Allah.

Ces Khawarij ont déclaré aujourd’hui « Tout comme nous sommes entrés dans la mosquée des Omeyyades et à Damas, nous entrerons dans la mosquée de Muhammad et dans la Ka’bah, en chantant et en demandant à Allah de nous donner la victoire contre les mécréants ».

C’est ainsi que les Khawarij révèlent une fois de plus leur véritable nature : il n’y a pas d’espoir en eux. Il a même mentionné le nom du Prophète sans honneur, omettant de dire « le Prophète » ou « le Messager », ou d’envoyer des bénédictions sur lui ﷺ.

Qu’Allah protège les terres des Haramain du mal des Khawarij et des déviants. Allah dit :
« Et quiconque veut y faire une déviation ou un méfait, Nous lui ferons goûter un châtiment douloureux « [Al-Hajj : 25]. 

La route de Damas n’ouvre pas celle de Jérusalem, mais celle de La Mecque.

Le sultan Erdogan a faim et les ressources pétrolières et gazières du Golfe vont l’encourager à pousser ses hordes islamo-mongoles toujours plus au sud, mais aussi à l’est.

L’Irak fait également partie de ses cibles.

⚡BREAKING

11 000 terroristes sont prêts à envahir les villes irakiennes de Mossoul et Tikrit dans quelques mois – haut responsable militaire iranien

L’armée irakienne a commencé à creuser des fortifications défensives le long de la frontière syrienne

Erdogan sait qu’il ne peut pas laisser ses troupes fanatisées végéter en Syrie, sinon elles sèmeront le chaos. Les envoyer mourir utilement en Irak, au Liban, en Jordanie et en Arabie Saoudite est un moyen de joindre l’utile à l’agréable.

Les Arabes peuvent se préparer à mourir pour leurs nouveaux maîtres qui seront infiniment plus exigeants en termes de litres de sang à verser pour la gloire du sultan d’Istanbul.

Contre la censure

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.

]]>
L’émission sera diffusée demain ! /lemission-sera-diffusee-demain-5/ Tue, 10 Dec 2024 21:26:08 +0000 /?p=93936 Emission
Démocratie Participative
10 décembre 2024

 

À demain !

]]>
Les escadrons de la mort djihadistes commencent à démocratiser la Syrie /les-escadrons-de-la-mort-djihadistes-commencent-a-democratiser-la-syrie/ Tue, 10 Dec 2024 20:18:33 +0000 /?p=93933 La Rédaction
Démocratie Participative
10 décembre 2024

 

Le nouveau premier ministre syrien appartient très exactement au mouvement de ces combattants de la liberté qui ratissent actuellement les régions de Syrie pour y répandre la démocratie.

Maghawir al-Sham (Commandos du Levant), un groupe extrémiste opérant sous l’égide de HTS, a entamé un nettoyage ethnique de la campagne de Homs où résident d’importants groupes d’alaouites.

« Allahu Akbar, les Alaouites ont été chassés !

Accessoirement, c’est eux que l’UE a chaudement félicité, tout comme Emmanuel Macron.

Ils sont jeunes et motivés.

Les médias occidentaux et soutenus par l’Occident ont blanchi les « combattants syriens de la liberté » en montrant leurs exécutions « inclusives ».

La version non censurée est disponible sur notre chaîne Telegram.

Rappelez-vous de ce qu’a dit BFM : ils se sont modérés et se sont taillés la barbe.

Nos petits gars sont aussi de la part.

Vous remarquerez le délicieux accent du terroir fronssais.

Contre la censure

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.

 

]]>
Nouveau : la cravate haram sur la ligne 4 /nouveau-la-cravate-haram-sur-la-ligne-4/ Tue, 10 Dec 2024 17:30:22 +0000 /?p=93930 La Rédaction
Démocratie Participative
10 décembre 2024

 

Même le nouveau chef du gouvernement djihadiste syrien porte la cravate au beau milieu de Djihad Land.

La France est bien plus avancée sur le chemin d’Allah que les moudjahidines en Syrie. Encore dix ans et c’est la France qui sera l’école du djihadisme international.

Contre la censure

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.

]]>
Poitiers : les rebelles voulaient faire sauter la mairie pour protester contre Charles Martel /poitiers-les-rebelles-voulaient-faire-sauter-la-mairie-pour-protester-contre-charles-martel/ Tue, 10 Dec 2024 12:33:38 +0000 /?p=93922 La Rédaction
Démocratie Participative
10 décembre 2024

 

La rébellion a tenté une opération contre les positions du régime à Poitiers !

France 3 tente de limiter les dégâts :

Il faudra que les journalistes de France 3 expliquent ça aux bougnoules.

Le Figaro :

Trois jeunes, âgés de 19 et 20 ans, sont accusés d’avoir fomenté un attentat. Ils ont été arrêtés à Nîmes et à Nantes, mis en examen puis écroués.

Un nouveau signe, s’il en fallait, que la menace terroriste islamiste n’a pas disparu. Samedi 7 décembre, trois jeunes ont été mis en examen pour avoir projeté une action violente en France, indique le Parquet national antiterroriste (Pnat) au Figaro, confirmant les informations du Parisien .

Les trois suspects sont âgés de 19 ans à 20 ans, l’un est étudiant en chimie, un autre en informatique. Selon nos informations, deux mis en cause ont été arrêtés à Nantes et sont français d’origine maghrébine, tandis qu’un troisième suspect interpellé à Nîmes est d’origine mahoraise et ancien velléitaire pour un départ en Syrie. Enfin, l’un des trois serait le fils d’un imam aumônier en prison, indique une source proche de l’enquête au Figaro. Leurs avocats, Mes Seydi Ba, Sipan Ohanians et Ambroise Vienet-Legué, n’ont pas souhaité faire de commentaires.

Notez que dans le lot se trouve un des électeurs fétiches de Marine Le Pen.

Selon nos informations, ils sont accusés d’avoir fomenté un attentat en commandant puis en réceptionnant du matériel servant à confectionner des engins explosifs. L’un des trois avait acheté des colis d’acide en novembre dernier. Ils avaient pour projet de fabriquer du TATP. Leur projet était relativement bien avancé puisqu’ils auraient procédé à des essais dans la chambre de l’un d’eux. En parallèle, ils échangeaient régulièrement sur les réseaux sociaux via des messageries cryptées, indique une source proche du dossier au Figaro.

La mairie de Poitiers figurait parmi les cibles envisagées par les suspects, radicalisés autour de thèses djihadistes. Les jeunes auraient ainsi voulu attaquer cette mairie en raison de la symbolique bataille de Poitiers, en 732, où Charles Martel a battu des troupes arabo-berbères. Le siège de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a aussi pu être évoqué. Mais la cible n’était pas clairement établie, nous précise-t-on.

Après leur garde à vue à la DGSI, ils ont été mis en examen pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et écroués. Deux d’entre eux sont aussi poursuivis pour fabrication non autorisée d’engin explosif et pour détention et transport de substance ou produit incendiaire ou explosif, précise le Pnat. Ils ont été arrêtés dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte le 20 novembre. Les investigations sont désormais confiées à des magistrats instructeurs.

La « menace djihadiste représente 80 % des procédures » diligentées par le Pnat, a rappelé mi-septembre le procureur Olivier Christen. « Au premier semestre 2024, il y avait eu à peu près trois fois plus de procédures » de ce type que sur la même période en 2023, a-t-il ajouté. Cet accroissement s’explique d’après lui par le « contexte géopolitique », mais aussi par « la reconfiguration, notamment en Afghanistan », du groupe État islamique.

Ils n’ont encore rien vu.

Avec Damas aux mains d’Al Qaeda et consorts, nous avons désormais un état djihadiste en voie de formation sur les bords de la Méditerranée appuyé par un état de l’OTAN, la Turquie. Rappellons au passage que le Bataclan a été une opération du renseignement turc réalisée par l’intermédiaire de djihadistes recrutés en Syrie et ailleurs.

À l’époque, Erdogan était mécontent du lâchage des USA et de la France dans son entreprise de renversement de Bachar al Assad et s’était vengé des mécréants perfides.

La création de cet état salafiste veut dire que des ressources humaines, financières, techniques et diplomatiques seront assignées pour mener des opérations sophistiquées partout où le djihadisme global veut opérer.

L’Europe de l’Ouest étant le ventre mou du monde blanc et la France étant le ventre mou du ventre mou, on sait déjà où les startupers du Califat vont ouvrir boutique.

Personne ou presque ne mesure ce qui vient de se passer en Syrie.

Pour le coup, c’est maintenant qu’il faudrait mettre sur pied une armada afin de reprendre Damas des mains de ces fanatiques. Ou mieux, la vitrifier.

Évidemment, pour une fois qu’une telle campagne militaire serait justifiée, aucune démocratie occidentale ne bougera, bien au contraire.

Le ramadan 2025 s’annonce particulièrement islamique.

Contre la censure

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.

]]>
Orban donné battu pour les prochaines élections /orban-donne-battu-pour-les-prochaines-elections/ Tue, 10 Dec 2024 11:01:10 +0000 /?p=93917 La Rédaction
Démocratie Participative
10 décembre 2024

 

Orban peut dire adieu au pouvoir.

L’offensive est lancée, les sondages « défavorables » sont diffusés et la faction pro-OTAN est désormais proclamée majoritaire.

Lécher les bottes de Netanyahu et de Trump ne suffira pas.

Il va se faire renverser selon le modèle polonais : des élections « miraculeuses » suivies d’une purge radicale de l’État et des médias.

Ensuite, il sera visé par des procès à répétition pour corruption. Ce ne sera pas difficile car Orban est un corrompu notoire qui a du mal à distinguer son porte-feuille des caisses de l’État.

Nous sommes en phase d’accélération et l’OTAN ne va pas tolérer que des acteurs de second rang jouent sur tous les tableaux. La Roumanie le prouve, l’époque des élections relativement libres est terminée.

À présent nous aurons la démocratie procédurière avec une décision prise par des juges au nom de « l’état de droit ».

À Bruxelles, Orban est plus ou moins considéré comme le Bachar al Assad d’Europe. Les centristes pro-système du continent lui souhaitent à peu près le même sort, à la différence que Bachar al Assad a su quand se replier et où.

Orban n’ira nulle part et finira dans un tribunal dont les juges auront été désignés par le fils Soros.

Contre la censure

Utilisez Brave et Tor en suivant notre guide ici.

Ou utilisez un VPN.

 

]]>