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Sigmar Polaris
Démocratie Participative
26 novembre 2024
La police allemande, c’était mieux du temps de la Gestapo.
Remix :
Des accusations choquantes ont été portées contre une policière transgenre (« homme vers femme ») de Berlin qui, selon les procureurs, aurait drogué deux collègues policiers et abusé d’eux avec une pompe à pénis alors qu’ils étaient assommés.
Une journée normale au travail entre collègues berlinois
L’agent de 27 ans, Judy S., a été relevée de ses fonctions et fait l’objet d’une enquête. Lors d’une perquisition au domicile de Judy S., la police aurait trouvé des stupéfiants.
L’affaire a fait les gros titres dans toute l’Allemagne, et ce qui la rend d’autant plus intéressante, c’est que Judy S. n’est pas une policière inconnue, mais qu’elle s’est présentée aux élections pour le poste de représentante adjointe des femmes au sein de la police berlinoise. Selon le journal Bild, Judy S. est une transsexuelle et son affiche est toujours accrochée dans plusieurs services de police de la ville.
La grosse Berta
Judy S. aurait rencontré deux officiers de police au cours d’une soirée ce mois-ci dans un sex club, le Kit Kat Club, bien connu dans la ville pour ses parties de jambes en l’air. Les policiers ne se connaissaient pas avant de se rencontrer et on ne sait pas si les deux hommes savaient que Jody S. était transgenre avant de rentrer chez eux avec elle. Selon le journal Blick, ils sont rentrés chez eux avec Jody S. avec l’intention de consommer de la drogue et d’avoir des relations sexuelles.
Une soirée à la Palmade au Kit Kat Club à Berlin. MST garantie(s).
Au lieu de cela, les deux agents se sont soudain sentis « étranges » et engourdis. Après s’être réveillés, ils ont constaté qu’ils avaient tous deux des blessures aux organes génitaux. Selon Bild, le policier transgenre a attaqué les deux hommes avec une pompe à pénis au point de leur rompre le pénis.
Les deux hommes sont allés voir la police pour cet incident, ce qui a conduit la police à faire une descente dans l’appartement de la transsexuelle, où les enquêteurs ont trouvé des drogues illégales.
Jusqu’à présent, le service de presse de la police berlinoise n’a pas évoqué l’affaire, mais une porte-parole, Anja Dierschke, a répondu par écrit à Bild : « En raison des enquêtes en cours et pour protéger la protection des données et les droits des personnes, je vous demande de comprendre et vous remercie également de comprendre que je ne peux pas vous donner plus d’informations sur les personnes individuelles et les faits de l’affaire ».
La conclusion de cette affaire, c’est que les travestis sont des gens comme vous et moi.
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