La Rédaction
Démocratie Participative
29 novembre 2024
La proposition de loi visant à abroger le délit d’apologie du terrorisme ne se limite pas à permettre la glorification du pogrom du 7 octobre ou à justifier la haine des juifs : c’est un véritable aveu. L’aveu d’une volonté de légaliser ici, les porte-paroles du Hamas, du… pic.twitter.com/t52eBCSFRP
— Rachel KHAN®️ (@KhanNRachel) November 23, 2024
«Le parti des Insoumis se croit tout permis» selon Gilles-William Goldnadel suite à la proposition d’abroger le délit d’apologie du terrorisme dans #HDPros2 pic.twitter.com/tVTN58ck67
— CNEWS (@CNEWS) November 26, 2024
Arno Klarsfeld sur le souhait de LFI d’abroger le délit d’apologie du terrorisme : «Ils sont alliés avec les islamistes pour se faire élire dans certains quartiers», dans #PunchlineWE pic.twitter.com/OPleG0bTDe
— CNEWS (@CNEWS) November 23, 2024
Encore une fois, l’insondable stupidité de la droite éclate au grand jour.
Plutôt que de soutenir LFI dans sa demande de dépénalisation de « l’apologie du terrorisme » pour faire refluer la logique répressive imposée par le système, l’ensemble de ces crétins serviles a redoublé de férocité dans la justification de la censure. Évidemment pour complaire aux juifs.
François-Xavier Bellamy s’indigne de la proposition de loi LFI d’abroger le délit d’apologie du terrorisme : «L’apologie du terrorisme est toujours présente dans notre pays et c’est ce qui prépare la voie à la répétition des actes terroristes», dans #LaGrandeInterview pic.twitter.com/ZgeUfONzKA
— CNEWS (@CNEWS) November 25, 2024
La palme revient à l’inverti Tanguy. Desserrer l’étau de la censure serait du « soviétisme » pour cette buse zozotante.
Délit d’apologie du terrorisme : «C’est une dinguerie de la part de LFI, du gros soviétisme qui tâche», tacle le député RN Jean-Philippe Tanguy https://t.co/cEqkJqGf1z
— CNEWS (@CNEWS) November 27, 2024
Les juifs, qui eux font de la politique, ont immédiatement saisi l’opportunité de la surenchère répressive. La LICRA, qui l’exige depuis longtemps, est montée au créneau pour étendre le principe aux « propos racistes ».
Le Point :
L’augmentation des signalements des victimes de racisme et d’antisémitisme dans les écoles au cours de la période 2023-2024 donne la mesure du phénomène : + 49 % d’augmentation du nombre de signalements pour racisme et antisémitisme (discrimination, injure, contenu haineux sur Internet, provocation à la haine, diffamation, apologie ou contestation de crimes contre l’humanité) ; + 127 % d’augmentation du nombre de signalements à caractère antisémite ; + 52 % d’augmentation du nombre de signalements à caractère raciste.
La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) avait, elle aussi, appelé le gouvernement à s’engager activement dans la lutte contre le racisme sous toutes ses formes lors de la publication de son 34e rapport annuel, qui fait état d’une forte augmentation des actes racistes entre 2022 et 2023 et du niveau record et sans précédent de la hausse des actes antisémites (+ 284 %).
Paradoxalement, la réponse judiciaire est disproportionnée par rapport à la réalité de ce fléau, avec seulement 1 600 condamnations annuelles. « Les chiffres du ministère de la Justice se révèlent ainsi particulièrement inquiétants », souligne la CNCDH. « En 2022, 55 % des affaires à caractère raciste étaient classées sans suite, soit bien plus que dans le contentieux général. On note aussi un recul de 17 % du nombre d’affaires à caractère raciste orientées par les parquets, et un recul de 16 % du nombre de personnes mises en cause pour des infractions à caractère raciste. Le faible nombre des condamnations nourrit le sentiment d’impunité des auteurs, la défiance des minorités vis-à-vis des institutions comme leur sentiment d’insécurité », précisent les auteurs du rapport.
D’où l’importance, selon Mario Stasi, de corriger le message envoyé aux citoyens. Le président de la Licra appelle de ses vœux une intervention législative visant à sortir ces délits de la loi sur la liberté de la presse pour les intégrer dans le régime général du Code pénal. Entretien.
Mario Stasi, fourrier des juifs
Le Point : La réponse pénale semble inadaptée à la gravité de la situation, compte tenu de l’augmentation exponentielle des actes et des propos haineux. Une proposition de loi, adoptée en mars 2024 par l’Assemblée nationale, visait à durcir la répression contre les injures racistes et antisémites. Est-ce dans cette voie qu’il faut s’engager ?
Mario Stasi : Ces actes tombent sous le coup de la loi de 1881 sur la liberté de la presse. Cette loi est, à l’origine, une loi de protection des journalistes et de garantie de la liberté d’expression. Avec le temps, cette loi a évolué et renferme désormais un panel d’infractions aggravées notamment par leur caractère raciste ou antisémite. Maintenir les délits racistes et antisémites dans cette loi contribue à répandre l’idée que nous aurions à réprimer une opinion ; or le racisme et l’antisémitisme ne sont pas des opinions mais des délits, et persister à les juger avec les précautions dévolues aux journalistes constitue une impasse et un détournement du but initialement poursuivi.
Aujourd’hui, force est de constater que ce véhicule est inadapté à nos combats, aux nouveaux moyens de communication et aux contentieux de masse en ligne, qui ont largement évolué depuis 1881.
Il nous semble donc essentiel que le législateur adresse un message clair à l’attention de l’opinion publique, celui que les propos racistes et antisémites méritent une véritable réponse pénale, efficace et rapide. C’est pour cela qu’ils doivent constituer un délit de droit commun, en somme un « vrai » délit, et que les délinquants racistes ou antisémites doivent être enfin considérés comme des délinquants ordinaires.
Depuis de nombreuses années, la Licra porte le projet de sortir les délits à caractère raciste et antisémite de la loi du 29 juillet 1881 pour les intégrer dans le régime général du Code pénal, et l’actualité nous réconforte dans la poursuite de ce combat.
Le racisme et l’antisémitisme sont bien évidemment des opinions. Qu’elles soient interdites par le régime juif n’y change rien et ce sophiste de Stasi le sait pertinemment.
Les lois « antiracistes » et apparentées sont conçues depuis 1972 pour empêcher les autochtones de s’exprimer librement sur la question de la submersion migratoire. Ce sont des lois foncièrement anti-françaises, dictées par les juifs, pour les noyer sans qu’ils puissent se défendre. Leur abolition n’est pas négociable et la question de savoir si ces mesures répressives sont régies par la loi de 1881 ou le code pénal est un détail.
Cependant, pour le justiciable goy, les faire passer dans le Code pénal implique de faciliter la répression. Par exemple, en permettant la comparution immédiate, c’est-à-dire un procès expéditif après avoir été arrêté à 6h00 du matin. La loi de 1881, qui n’a bien sûr jamais prévu de peines de prison pour des opinions, l’empêche. Les bataillons d’avocats juifs entendent bien faire régner une terreur accrue par ce moyen contre les Français assiégés et sans défense face à l’invasion.
Si vous voulez sortir de la propagande juive au sujet de la question de la censure antiraciste, lisez le livre d’Éric Delcroix : « Le théâtre de Satan, décadence du droit, partialité des juges ».
Les droitardés pensaient que les juifs allaient les laisser dire tranquillement du mal des bougnoules. Demandez à ces abrutis de se compter à présent car ils sont au menu de la bête cosmopolite qu’est cette république juive.
Pour ma part, je suis résolument favorable à cette pénalisation à outrance des opinions qu’exigent les juifs.
D’abord pour une question d’ordre pratique. Nous ne démantèlerons pas l’arsenal de terreur antiraciste créé par les juifs grâce à je ne sais quelle conversion subite de politicards démocrates sur le chemin de Damas. C’est par la saturation de l’appareil répressif que nous le détruirons.
Ensuite, les juifs, sous l’effet de leur panique tribale, contraignent stupidement l’appareil d’état à une escalade perpétuelle contre la masse de la population. Plus il y a d’options légales pour que les différents groupes raciaux et religieux se poursuivent mutuellement devant les tribunaux, plus le climat de guerre raciale progresse, précipitant la balkanisation de la société. Cette balkanisation entraînera l’implosion de la Cinquième putain aussi sûr que deux et deux font quatre.
Plus il y aura de répression idéologique exigée par les juifs, mieux ce sera. Cela dressera un nombre croissant de gens contre eux, mais aussi contre l’État, ce qui pave la voie à l’évaporation de sa légitimité. Tôt ou tard le bras séculier s’épuisera sous le nombre, comme en 1789. À ce moment-là, les juifs se trouveront face à une immense masse hostile, décidée à régler ses comptes avec eux. Pour eux, l’aéroport ne sera pas assez proche ce jour-là.
La LICRA fait notre jeu au delà de nos espérances.
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